C’est en plein coeur de la “Ville Rose” que nous intervenons actuellement à la restauration de Notre Dame de la Daurade ( du latin Daurada (dorée)… et non du poisson ! )
Il n’y a pas moins de quatre ateliers de restauration qui se partagent les tableaux monumentaux (plus de 9m de haut) du cœur et du transept, ainsi que les décors peints des murs et de la voûte. Chacun y va de sa méthode, de ses outils et de sa bonne humeur.
Pour nous, en ce moment, c’est le dévernissage des tableaux du cœur qui nous absorbe. Ils ont été réalisés entre 1811 et 1830 par Joseph Rocques, un peintre toulousain qui fut également le maître d’Ingres.
Le chantier avance bien, les œuvres coopèrent et les restaurateurs se régalent !
La réouverture du cœur est prévue pour Février…