Elle s’appelle la Madone de Lorette. Elle avait été froissée, déchirée, grignotée et remisée sur le plancher rongé d’une église fermée. Après des mois de traitements attentifs et une étroite collaboration avec un ébéniste rigoureux, des propriétaires investis, une commune de bonne volonté et une conservatrice dévouée, la revoilà, avec toute sa douceur et son éclat.